LUC HENRY LORSON :le sabre et la rose ;suite

Le Sabre et la Rose.

27 octobre

Maison Impériale du Septentrion, 
Luc Henri Lorson, 
S/c de Me J.Marc Banquet D'Orx.

Monsieur le Président de la République,

Tout en vous souhaitant un excellent séjour en Guyane, je me permets de revenir sur un des points de discorde qui jonchent ce territoire entre " La guerre du feu "et "Stars Wars".

Celà concerne le défaut d'infrastructures, territoire français et centre spatial européen, il m'a semblé tombé des nues lorsque j'eus connaissance du vide sidéral dont sont victimes les guyanais. 
Le réseau routier, l'insécurité, l'immigration illégale et le manque même de batiments scolaires ajouté au chômage. 
Vous n'êtes bien évidemment pas responsable de cette misère, résultat d'une gestion néo-colonialiste de vos prédécesseurs. 
Je partage également votre fermeté à l'égard de ces individus en cagoules qui n'ont leurs places nulle part sur le territoire et leurs menaces doivent cesser. 
Pourtant, lorsque vous avez dit que le problème d'infrastructures routières, ne pouvait être résolu durant ce quinquennat, je m'interroge. 
L'Espagne et d'autres nations européennes ont pu bénéficier du soutien de l'Europe pour aménager leurs territoires. Nous,nous ne pourrions pas en bénéficier ?
Deuxièmement, les sociétés privées gestionnaires des autoroutes de France, ne pourrait intervenir en leur accordant quelques facilités ? 
D'autres continents voient augmenté leurs besoins d'infrastructures, ne serait-ce pas là une bonne vitrine commerciale pour les entreprises françaises ? 
De plus, il me semble que l'on a trouvé le moyen de produire de l'énergie grâce aux surfaces routières.
Ajouter à la biomasse et à d'autres solutions de création énergétique, ne pourrions nous pas transformer ce désert structurel, en laboratoire d'avenir créant des énergies de pointes, écologiques et commerciales ?
La réussite d'un tel programme ne pourrait être que profitable à tous, métropolitains et ultras-marins.
Je vous laisse sur cette note despoir,
Espérant ne pas vous avoir trop importuner, 
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de mes sincères salutations distinguées.

Amitiés bonapartistes, 
Maison Impériale du Septentrion,
Luc Henri Lorson.