LA MAGIE POUR LES PLUS PETITS QUI EN ONT PLEIN LES YEUX
DOMMAGE QUE CETTE FETE SOIT DEVENUE COMME LE RESTE UN COMMERCE
LES ADULTES GACHENT TOUT
je vous souhaite la bienvenue et une bonne lecture merci pour la visite !
Publié le 21 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans ACTU
LA MAGIE POUR LES PLUS PETITS QUI EN ONT PLEIN LES YEUX
DOMMAGE QUE CETTE FETE SOIT DEVENUE COMME LE RESTE UN COMMERCE
LES ADULTES GACHENT TOUT
Publié le 20 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans PICARDIE, QUOTIDIEN, ACTU
il est BONAPARTISTE
Sur les traces de Napoléon III, en Amiens qui le vit sortir en blouse d'ouvrier et revenir Empereur des français. Luc Henri Lorson le long du canal St Leu, portant en son revers,les armoiries de celui qui fit entrer la France dans l'ère moderne, cherche ici à puisser l'essence d'un renouveau.
MÉDAILLÉ PAR LE PRÉFET EN AOÛT
IL SOUHAITE VOIR ETRE APPLIQUÉES LES VALEURS BONAPARTISTES QUI SONT
IL EST UN HOMME D HONNEUR ET A PORTÉE DE TOUS PRÉOCCUPE PAR TOUT CE QUI NE VA PAS
IL VIT COMME UN FRANÇAIS ORDINAIRE
Monsieur Jean-Marc Banquet d'Orx .
Descendant de son altesse impériale
Charles Louis Napoléon Bonaparte
dit Louis Napoléon Bonaparte
puis Napoléon III.
Empereur des Français.
Publié le 20 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans PICARDIE, QUOTIDIEN, ACTU
Maison Impériale du Septentrion,
Luc Henri Lorson.
S/c de Mr Jean.Marc Banquet D'Orx
Je tiens à saluer ici, l'action du gouvernement, face à la problématique créée lors de la nomination des membres du " Conseil consultatif du numérique".
À un moment, je pense que l'on doit savoir, si l'on souhaite une société digne du XXI ème siècle.
Des extrémistes, de quelques noms de baptêmes ou couleurs qu'ils soient, restent des extrémistes.
Plus de vingt ans, que l'on met sur le devant de la scène, des marginaux associaux, des politiques véreux sans programmes, mais prêts à toutes les bassesses pour obtenir des voies dans les urnes ou de fausses légitimités, qui seront transformés en subventions.
Systèmes politiques ou associatifs qui détruisent comme un cancer notre société.
Alors bon débarras et laissons la lumière entrée.
Publié le 18 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans PICARDIE, ACTU, VISITES
Pendant que les enfants s'amusent dans les plaines de jeux, sur la piste de roller ou au terrain de pétanque, vous pourrez profiter du verger, des prairies reconstituées et du parcours des senteurs, avant de découvrir en famille la mini-ferme et ses nombreux animaux (poules, oies, vaches, moutons, chèvres, chevaux, ânes, lapins...).
SES FÉERIES DE NOEL
Publié le 16 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans PICARDIE, QUOTIDIEN, ACTU
recherches de cadeaux originaux et dégustation de mets traditionnels
Le marché de Noël se tient jusqu'à demain 18h à la salle des vignes de Picquigny (Somme).
Des marchés de Noël, il y en a pour tous les goûts. Mais les fêtes peuvent aussi être l'occasion de faire preuvre de solidarité. A Picquigny, dans la Somme, l'association "Le rire d'Ilyes" organise pour la seconde année son marché. Cette assocation, fondée en 2015 par la mère d'un enfant autiste, a pour objectif de sensibiliser l'opinion publique aux difficultés liées à ce trouble.
L'isolement frappe durement les familles dont un enfant est atteint d'un trouble autistique. Le marché est un lieu privilégié pour créer un moment d'échange. "Les gens viennent poser des questions, ils viennent s'informer, souligne Sandrine Montenot, présidente de l'association. On a aussi beaucoup de familles qui viennent pour trouver eux-même des réponses parce qu'ils ne savent pas vers qui se tourner."
Difficultés d'acceptation des personnels scolaires, centres de soins surchargés : Sandrine Montenot a elle-même longtemps navigué entre les spécialistes pour accompagner son fils. C'est pour briser la solitude qu'elle a créé "Le rire d'Ilyes", qui accompagne aujourd'hui douze familles. Jusqu'à demain soir, elles sont soutenues par vingt-trois artistes locaux.
La précédente édition du marché avait permis à l'association de récolter 1200 euros. Les dons et la recette de la buvette lui ont permis d'investir dans le matériel et les soins nécessaires aux enfants. Ces dépenses, essentielles pour les familles, ne sont pas remboursées.
La traditionnelle descente du Père Noël de la Cathédrale de Laon est un événement populaire rendu possible par les pompiers qui assurent la logistique et interviennent pour aider l'homme à la barbe blanche en cas de pépin.
Si l'homme en rouge descend du ciel dans un traineau tiré par huit rennes, il lui arrive aussi de prendre des chemins détournés. Comme descendre de 60 mètres en empruntant la façade de la cathédrale de Laon.
Mais le vieux monsieur a des assistants les pompiers de l'Aisne et notamment ceux du Groupe d'intervention et de reconnaissance en milieu périlleux (GRIMP) chargé de sécuriser le site et d’aider le héros des enfants à prendre son élan.
Le dimanche 17 décembre à 18 heures tout est donc réuni pour que le rendez-vous le plus attendu des festivités de Noël soit une réussite.
Publié le 16 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans QUOTIDIEN, ACTU
Le laboratoire allemand Merck Serono a affirmé ce jeudi qu’il ne prévoyait pas de distribuer l’ancienne formule du Levothyrox au-delà de 2018, alors qu’elle doit être progressivement remplacée dans l’ensemble des pays européens au cours de l’année. "Nous n’allons pas éternellement réimporter" en France, a prévenu Thierry Hulot, le patron des activités biopharmaceutiques de Merck Serono en France, précisant qu’une nouvelle importation était prévue très prochainement pour que le pays puisse tenir jusqu’à mars.
Auparavant, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, aurait demandé aux laboratoires Merck de maintenir la commercialisation de l’ancienne formule du Lévothyrox pour l’année 2018.
"Cela veut dire que les actions en justice menées par notre Collectif, qui réuni des victimes de la nouvelle formule en Occitanie, portent leurs fruits au-delà des tribunaux, considère et se félicite Sylvie Chréreau, la porte-parole de ce collectif. Mais, la position du ministre n’est pas claire. Elle aurait dit, plus ou moins en cachette, qu’elle souhaiterait le maintien de la commercialisation pour 2018. Mais après on arrête ? On fait quoi ? Il faudrait qu’elle adopte une vraie position", regrette Sylvie Chéreau.
Me Jacques Lévy, l’avocat des personnes regroupées au sein de ce collectif, est "heureux", lui aussi, de voir que les choses bougent". "Nous devons rester mobiliser et continuer nos procédures judiciaires, ajoute Sylvie Chéreau".
Des plaintes de victimes de la nouvelle formule médicamenteuse doivent être déposées, dans les jours qui viennent, devant les juridictions civiles de Tarbes, Castres et Montauban
En novembre dernier, le tribunal de Toulouse avait condamné le laboratoire Merck à rendre disponible l’ancienne formule du médicament, fabriquée en partie en France mais destinée, jusque-là, à l’importation. Quant au tribunal de Saint-Gaudens, saisi fin novembre par une cinquantaine de plaignants, il doit rendre sa décision le 26 décembre.
Publié le 16 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans QUOTIDIEN, ACTU
Une concentration extrêmement élevée de ruthénium 106 a été repérée par lagence de météorologie russe Rosguidromet dans lOural./DR
La Russie et son agence de météorologie Rosguidromet ont reconnu ce lundi avoir repéré sur leur territoire une concentration extrêmement élevée de ruthénium 106 probablement à l’origine de la pollution nucléaire qui a contaminé à des degrés divers quatorze pays d’Europe, dont la France.
Dans le cadre de sa mission de surveillance de la radioactivité sur l’ensemble du territoire, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a révélé jeudi 9 novembre avoir mesuré la présence de ce produit de fission issu de l'industrie nucléaire dans le sud-est de la France, entre fin septembre et début octobre 2017. Les contacts pris par l’ASN et l’IRSN auprès de leurs homologues européens avaient alors confirmé la détection de ruthénium 106 dans l’air ambiant au cours de la même période dans au moins quatorze pays européens.
"Le radio-isotope Ru-106 a été détecté par les stations d'observation d'Arguaïach et de Novogorny" entre le 25 septembre et le 1er octobre, a admis l'agence de météorologie russe, précisant « qu’ une concentration extrêmement élevée" de ruthénium-106, "excédant de 986 fois" les taux enregistrés le mois précédent, a été mesurée à Arguaïach ».
Ce village du sud de l'Oural est situé à 30 kilomètres du complexe nucléaire Maïak où s’est produit l'un des pires accidents nucléaires de l'histoire en 1957, et qui sert aujourd'hui de site de retraitement de combustible nucléaire usé.
Greenpeace Russie a annoncé son intention d’envoyer une lettre au parquet pour demander l'ouverture d'une enquête sur la dissimulation éventuelle d'un incident nucléaire". L’organisation écologiste a également réclamé à Rosatom, la société d'Etat russe gérant l'activité de toutes les entreprises du secteur nucléaire en Russie, de "mener une enquête approfondie et de publier des données sur les évènements arrivés à Maïak".
Ce village du sud de l'Oural est situé à 30 kilomètres du complexe nucléaire Maïak où s’est produit l'un des pires accidents nucléaires de l'histoire en 1957, et qui sert aujourd'hui de site de retraitement de combustible nucléaire usé.
Greenpeace Russie a annoncé son intention d’envoyer une lettre au parquet pour demander l'ouverture d'une enquête sur la dissimulation éventuelle d'un incident nucléaire". L’organisation écologiste a également réclamé à Rosatom, la société d'Etat russe gérant l'activité de toutes les entreprises du secteur nucléaire en Russie, de "mener une enquête approfondie et de publier des données sur les évènements arrivés à Maïak".
Ce mardi cependant, au lendemain des déclarations de l’agence de météorologie Rosguidromet, le conglomérat nucléaire public russe Rosatom a affirmé que la Russie n'a enregistré aucun incident ni panne sur ses installations nucléaires.
« Toutes les unités de puissance des centrales nucléaires russes fonctionnent et fonctionnaient au moment du rejet radioactif en mode d’exploitation normale et conforme au programme de travail. Aucune anomalie n'a été observée sur les équipements du groupe public Rosatom et les règles de sécurité restent parfaitement respectées. La situation radiologique autour de toutes les installations de l'industrie nucléaire de la Fédération de Russie se situe dans la norme et correspond au rayonnement naturel de fond. Les installations de l'industrie nucléaire en Russie ne peuvent pas être considérées comme une source des rejets du Ru-106» a indiqué Rosatom à "La Dépêche du Midi".
Lorsque la pollution radioactive a été signalée début novembre, les autorités russes ont évoqué la chute accidentelle d’un satellite d’ancienne génération alimenté au ruthénium 106. Une hypothèse peu crédible au regard des concentrations relevées dans l’Oural. A ce jour, les spécialistes croient plutôt à un incident survenu sur le site de Maïak, et que la Russie veut garder secret. Un incident que la France aurait probablement classé 5 sur une échelle de 7, au regard de l’ampleur de la pollution.
Cependant, l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français (IRSN) a considéré que "les niveaux de concentration dans l'air en ruthénium-106 qui ont été relevés en Europe et en France sont sans conséquence pour la santé humaine et l'environnement".
Pour un responsable régional russe, l'IRSN aurait accusé la Russie pour aider au développement de l'industrie nucléaire française. "La source de cette information est la France, où un concurrent de notre Maïak recycle des déchets nucléaires. Cela fait réfléchir", a déclaré Evguéni Savtchenko, ministre de la Sécurité publique de la région de Tchéliabinsk, au site Ura.ru. Une mise en cause réfutée catégoriquement par l'IRSN. L'institut "n'a aucun intérêt à intervenir dans des intérêts industriels", a assuré M. Peres de l'IRSN, avant d'ajouter: l'institut a "soumis (ses) calculs à un panel d'homologues étrangers, dont des Russes" et "aucun n'a mis en cause" ses méthodes de calculs.
Publié le 16 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand
Pourquoi chercher plus loin vous emmène en Picardie à la découverte de la cathédrale inachevée de Beauvais dans l'Oise. La cathédrale Saint-Pierre avait l'ambition de devenir la plus grande et la plus audacieuse cathédrale de toute la chrétienté... Le film s’attache à découvrir la Cathédrale et son environnement proche. Son histoire (mouvementée), bien sûr, mais aussi ses secrets, ses blessures, les découvertes révélées, ses particularités et les trésors qu’elle recèle : l’horloge astronomique, l’orgue, et bien sûr ce chœur gothique le plus haut du monde. Et surtout, le film nous fait découvrir ceux qui s’occupent de ce monument exceptionnel. Ils sont architecte, archéologue, historien ou simples passionnés. Ils ont étudié, fouillé, admiré ce chef-d'œuvre de l’art gothique, ils en prennent soin ou le font vivre au quotidien. Deux intervenants principaux nous accompagnent dans cette aventure. - Marie Ansar, animatrice du patrimoine à Beauvais. Elle aime sa ville et son joyau, la cathédrale. Elle sait transmettre son amour pour sa cité. - Jean-Lucien Guenoun, le conservateur de la Cathédrale. Passionné par le monument, il vient régulièrement le vérifier, l’ausculter. Il est le seul, avec les artisans qu’il convoque pour le réparer et l’entretenir, à avoir accès aux sommets de l’édifice gothique.
Avec tout ce froid et ce vent, heureusement que la ville est illuminée avec toutes les décorations de Noël. Une chance parce que sinon je passerais mon hiver chez moi sous la couette à rien faire du tout.
En plus des fééries de Noël, où plein d’animations ont lieu (dont la grande parade de Noël qui arrive cette fin de semaine), le plus grand monument de Beauvais va être mis en valeur en lumière et en son.
LIRE AUSSI : Corolis Beauvais dépense 170,000 € pour installer des caméras HD à bord des bus
Le spectacle Cathédrale infinie reprend ce mer. 13 déc. à 19 h pour une nouvelle édition. La cathédrale de Beauvais va se transformer en un paradis de lumières multicolores géant.
Le spectacle, imaginé et mis en scène par l’artiste Skerzo met en avant le monument avec un mélange de couleurs, d’images et d’une bande son originale entre classique et contemporain.
Si tu as des ami·e·s en ville, c’est quelque chose à ne pas manquer !
Publié le 16 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans PICARDIE, QUOTIDIEN, HISTOIRE, ACTU
Maison Impériale du Septentrion
Luc Henri Lorson,
S/c de Mr J. Marc Banquet D'Orx.
Monsieur le Président de la République,
Ce jour, pour préserver son pouvoir, un trouble seigneur de ce monde, héla de sombres dragons en Jérusalem.
Noires pensées pour une terre trois fois saintes, bien rouges rivières pour deux peuples martyrisés.
Dans cette folie, possibles prémices à pires encore, nous pensons que le terme regrettable pour un tel comportement, est sommes toutes trop léger.
Comme Mr de Villepin, nous croyons qu'il est temps de marquer un stop avec l'administration Trump et ses dérives.
Pour clore ce sujet, nous partageons la position internationale sur deux états et ce qui logiquement, suit leur administration.
Plus légers et sans soucis de liaisons, sont les problèmes digestifs des élus de LREM.
Accorder une rallonge de mille deux cent euros pour saucer les pâtes, aide à diversifier son alimentation, permettant ainsi une libération de l'esprit nécessaire à la compréhension d'un monde, devenu pour eux, trop complexe.
Nous parlions du monde et il me revient en mémoire, cette grève en Grèce,suite aux injonctions du FMI et de l'Europe pour qu'elle modifie son droit du travail, plus de CDI pour les divinités de l'Olympes ?
L'Europe du chômage, faute d'Europe du travail !
Même interrogation sur des véhicules immatriculés en Pologne et circulant à Paris avec l'autocollant "Arrêt fréquents ", beaucoup moins d'Erasmus que de main d'oeuvre à bas prix, n'est-il pas ?
Nous terminerons ce voyage dans l'antiquité summérienne et grec, sur la juste décision du ministre chargé du numérique, de faire revoir la copie sur les membres du conseil.
Sûrement, que des lettres noires sur fond noir ou des lettres blanches sur fond blanc n'eut guère été efficace. Pas plus que des relants de charcuterie ou de kebabs.
Je me retire sur un sourire poli,
Et vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de mes sincères salutations distinguées.
Amitiés bonapartistes,
Maison Impériale du Septentrion,
Luc Henri Lorson.
Publié le 14 Décembre 2017 par Ciémentine Legrand dans PICARDIE, ACTU, HISTOIRE
Les étudiants compiégnois ont du talent à revendre. Qu’ils soient de futurs ingénieurs de l’Université de technologie de Compiègne (UTC) ou chimistes en herbe inscrits à l’Escom, certains possèdent également une fibre artistique qui s’exprimera à partir de ce jeudi soir, au Théâtre impérial. « Marée haute, messes basses », c’est le nom de leur nouvelle comédie musicale. Une histoire de pirate « en bonne et due forme ».
« Nous avons commencé à travailler en septembre 2016, explique Simon Cattez, le président de l’association. Nous étions une quinzaine au début, pour écrire le scénario, inventer les personnages, etc. En janvier, l’histoire tenait la route : les scripts sont entrés en jeu pour écrire les dialogues et les musiciens ont commencé à composer. » L’équipe s’est étoffée au fur et à mesure. Chorégraphe, danseurs, comédiens…
Une longue préparation. C’est pourquoi l’événement ne revient que tous les deux ans. « A chaque fois, on s’inquiète de savoir si on aura des volontaires pour tous les postes, sourit Valentin Delobel, chargé de la communication de l’événement. Et à chaque fois, on trouve ! » L’orchestre, par exemple, est composé d’une quarantaine d’instruments. Violons, flûtes, clarinettes, harpe, trompettes… Tous musiciens et étudiants.
Au total, 130 personnes. « Nous avons tout fait nous-mêmes, explique Simon Gattez. Différentes personnes du Théâtre impérial nous ont aidés, mais ils avaient surtout un rôle de conseil. » Le résultat est impressionnant de professionnalisme. « Marée haute, messes basses » réussit à transporter le spectateur dans son univers.
Ainsi, lorsque Jacques (Aurélien Béranger), dit « l’imberbe », se laisse séduire par une serveuse retorse, Alizée (Marine Carpe), au point d’emmener son équipage vers Libertalia, un lieu utopique, l’assistance embarque avec lui. Témoin de la fourberie des quartiers maîtres, elle ira rencontrer les amazones et le reste de l’univers imaginé par les étudiants.
Ces jeudi et vendredi soirs, à 20 heures, au Théâtre impérial, rue d’Ulm à Compiègne. Ouverture des portes à 19h30, placement libre. Tickets disponibles en ligne et sur place. Complet le samedi. Tarif : de 9 € à 14 €.